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Annexe de la ville de Pandémonium


Le bocal de Creatorem

Annexe mise à jour le 06.09.2022
Version 3.0
Table des matières


    La carte de la ville




    Merci beaucoup à Eva et Kazu pour leur super boulot !

    Suite à l'apocalypse, CW : morts, mentions de mutilations, sang, cadavres.

    La ville de Pandémonium



    Elle est sur l’ancien continent européen, quelque part là où se situait la Roumanie, et a été quasiment rasée quand les bombes sont tombées, ne laissant que des ruines, ou presque.

    Elle a été décontaminée grâce au travail acharné des premiers fondateurs. Elle fait environ une centaine de kilomètres carrés (pensez à Paris Intramuros) et accueille les derniers humains de la Terre. C’est le seul endroit connu où la pérennité de l’espèce humaine est possible.

    Le clivage social y est fort. D’un côté, les plus riches bénéficient de l’accès à la technologie et aux ressources de première nécessité (eau et électricité). De l’autre côté, la vie est extrêmement rudimentaire pour les plus pauvres (énergie mécanique, points d’eau communs).

    Population


    La population d’environ 2 millions d’habitants est majoritairement composée d’humains et de manticores. Autant que chacun le sache, la ville regroupe tout ce qui reste des rescapés de l’humanité. Les races surnaturelles ont pris le contrôle de la ville en petit nombre. On trouve à Pandémonium :
    • 70% d’humains (environ 1.4 Millions)

    • 25% de manticores (environ 500 000)

    • 1.90% de vampires (environ 38 000)

    • 1% de sang-mêlés (environ 20 000. A force de tenter des trucs, ça fait du monde !)

    • 1% de caduties (environ 20 000. Tous ne vivent pas dans les demeures de grandes familles. Ni très longtemps.)

    • 0.05% d’anges (environ 1 000)

    • 0.05% de démons (environ 1000)


    Post-Apocalypse


    La population mortelle a été réduite de 30%. Les Cavaliers ont fait de nombreux morts, directement ou par le biais des foules tombées sous leur influence. Les morts se comptent par milliers, dans l’Eden  nombreux sont ceux qui sont morts brûlés dans les incendies des maisons, dans les éboulis. Dans le Centre et les quartiers périphériques, ce sont surtout les mouvements de foule qui ont tué : parmi les victimes les plus faibles sont majoritaires à savoir les enfants (beaucoup sont morts étouffés, écrasés ou massacrés lors des périples des Cavaliers), les femmes, les personnes âgées et les malades.

    La population est désormais d’à peu près 1 400 000 individus:

    • 66.5% d’humains (environ 925 000)

    • 29 % de manticores (environ 405 000)

    • 2.65% de vampires (environ 37 500)

    • 1 % de sang-mêlés (environ 12 700. A force de tenter des trucs, ça fait du monde !)

    • 0.75% de caduties (environ 10 000. Tous ne vivent pas dans les demeures de grandes familles. Ni très longtemps.)

    • 0.05% d’anges (environ 700)

    • 0.05% de démons (environ 700)


    A ce jour, la proportion de Maudits au sein de la population n’est pas connue.

    L'Eden


    illustration Eden

    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=yqJTNbX3FHs

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 70%

    L’Eden a été l’épicentre des événements. Fatalement, c’est le quartier le plus détruit de Pandémonium. Les habitations ont pris feu, ont été pillées, ravagées, détruites, les corps jonchent les rues.  


    Les habitations

    Les habitations de l'Eden sont réservées aux grosses bourses de Pandémonium. Si vous n'avez pas un copec, vous pouvez passer votre chemin. Ici, les riches vous regardent du haut de leurs manti-pousse-pousse1 comme si vous étiez la lie de l'humanité.

    La principale raison de ce regroupement de richoux, c'est l'énergie. En effet, c'est le seul quartier alimenté fortement en électricité et en eau courante, rendant la vie de ses résidents bien plus commode que celle des autres.

    Posé sur le terrain le plus élevé, il est visible de loin, surtout avec les petites lampes posées sur les chemins entre les différentes habitations. Les petites gens s'y rendent peu et une réputation de "paradis sur terre" s'est peu à peu développée autour des histoires de fêtes et d'abondance.

    Type d'habitations disponibles :
    • Appartement - Grande majorité

    • Hôtels particuliers - Rares, réservés aux vieilles familles ou aux nouveaux riches

    • Maisons - Extrêmement rare. Presque exclusivement un héritage.


    Commodités disponibles pour 100% des logements :
    • Eau courante

    • Eau chaude au robinet

    • Électricité


    1 Manti-pousse-pousse : pousse-pousse tiré par un manticore. Ouais, j'ai eu l'idée, là, c'est nul, du coup c'est drôle.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : entre 15 à 100%.

    Le quartier a été ravagé par les flammes. Rares sont les maisons et hôtels particuliers hérités de l’ancien monde qui ont survécu, encore plus ceux qui s’en tirent sans dégâts majeurs. Les immeubles plus récents, construits avec peu de matériaux inflammables, sont souvent vandalisés, certains au point d’avoir leur structure compromise.

    Pour faire simple : le quartier est en ruines, l’électricité souvent coupée. Heureusement, les canalisations d’eau étant enterrées, elles ont survécu.

    Degré de destruction et proportion dans le quartier :
    • Destruction totale : 30% du quartier. Notamment de petits bâtiments comme les maisons et les hôtels particuliers.

    • Aux trois quarts détruits : 50 % du quartier. Beaucoup de boutiques, d’habitations cossues, de lieux étant signes extérieurs de richesse.

    • A moitié détruit : 15 % du quartier. Surtout des immeubles assez récents, assez hauts.
    • Détruit au quart à presque indemne : 5% du quartier. Ceux-là sont des petits chanceux, mais surtout parce qu’ils étaient loin des grands axes, loin des gros attroupements, bref, leur emplacement autant que la structure du bâtiment les a sauvés.


    Le Centre Crésus

    C'est le fondateur de la Devon Corporation qui a fait construire cet endroit, en montrant son majeur à toutes les petites bourses de Pandémonium.

    Bâtiment massif qui entoure une grande cour ouverte, recouverte d’un dôme. On y accède par des arches autrefois barrées de lourdes portes aujourd'hui disparues. Le toit tout en arches de verre protège quatre allées pavées d’une mosaïque artisanale. L’endroit tout décoré de marbre représente des scènes bibliques sur les hauts plafonds

    Le centre Crésus est un énorme condensé de tout ce que les habitants de Pandémonium ne pourront jamais s'offrir. Des sociétés aux boutiques de luxe, vous trouverez forcément votre bonheur ici, pour peu que vous puissiez y mettre le prix.

    Tailleurs reconnus, restaurants gastronomiques, artisans émérites, banquiers et bien d'autres s'y côtoient comme un banc de requin prêt à vous sucer les bourses jusqu'à la moëlle épinière.

    Les services que l'on peut y trouver :
    • Banque

    • Artisans

    • Restaurants

    • Tailleurs

    • Casino

    • Commissaire priseur

    • Galerie d'art

    • Salle de réception

    • ...


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : entre 45 et 90% selon les bâtiments

    Dévasté. Non par les flammes, qui du fait de l’armature en métal du bâtiment et l'acharnement des pompiers ont peu pris, mais par la horde de la population soumise à l’influence des cavaliers. Les boutiques sont pillées, les devantures ravagées, partout, il y a du sang, des corps, des débris de verre.
    La Banque a été pillée et brûlée. Les coffres qui ont résisté sont probablement impossibles à rouvrir tant les mécanismes ont été forcés. Non loin, le Casino ainsi que les locaux du commissaire priseur ont été presqu’entièrement brûlés. (destruction à 90%)
    Les restaurants, les artisans, la galerie d’Art et les tailleurs ont vu leurs locaux parfois roussis, souvent pillés. Des cadavres se retrouvent un peu partout, crucifiés, décapités, empalés… Les vitrines sont brisées. Tout est à reconstruire mais les murs ont tenu bon ! (destruction à 60-75%)
    Seule presque rescapée du massacre, la Salle de Réception du Centre Crésus qui a été épargnée par les flammes et n’a pas trop attiré l’attention des foules. Pas trop, mais assez pour avoir besoin d’un bon coup de nettoyage, d’un ravalement de façade et autres petites choses du genre. (destruction à 45%).

    La Salle de Bal

    "Salle" est un euphémisme pour décrire cet endroit. Tout en dorures et en faste écrasant, on y donne de jour comme de nuit des réceptions très raffinées dont on ressort rarement indemne.

    Pour peu que vous ayez les moyens, vous pouvez louer l’endroit. Un gardien au nez long et à l’air hautain semble posséder les lieux. Si vous lui graissez suffisamment la patte, tout vous sera fourni ici, de l'organisation jusqu'au service en salle.

    Ne vous laissez pas berner par les sourires enjôleurs et les ports de tête guindés, on vient ici pour défendre ses intérêts ou servir de dindon à la farce cruelle d'un autre. Les vampires sont persona non grata pour leurs petites sauteries, depuis une réception responsable du remplacement du parquet entier.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 75%

    Magnifique bâtiment des temps anciens où le tout Pandémonium était rassemblé le soir du drame, la débandade et les flammes ne l’ont pas épargnées. Or, avec tout le bois contenu dans le bâtiment, les dégats sont considérables : les teintures du boudoir ont pris feu en premier, et celui-ci n’est plus que murs de pierre calcinés. L’incendie, les mouvements de foule, tout ça a quasiment détruit le bâtiment. Ne reste que le magistral escalier de marbre, des sols calcinés et dangereux, de la pierre brûlée.

    Les Naïades

    L'Énergie étant rare et précieuse, peu de personnes ont accès à l'eau courante et ceux qui l'ont n'ont pas forcément les moyens de se payer une baignoire, même à l'Eden. Ceux dont la bourse est suffisamment remplie pour prendre plaisir à partager un bain se retrouvent aux Naïades.

    Plusieurs bains sont disponibles, de tailles différentes. Si vous y mettez le prix, vous pourrez privatiser l’endroit. Personne ne vous posera jamais de question : ce qui se passe aux Naïades reste aux Naïades.

    Un sauna aux pierres de l’Enfer est à disposition des clients. Un petit creux, envie d'encens ou bien d'entendre de la harpe ? Venez vous détendre dans leurs piscines chauffées “juste ce qu’il faut”.

    Ne vous avisez pas de froisser les autres clients, on entre aux Naïades à la force de la bourse, mais on s’en fait éjecter rapidement si les habitués le demandent.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 50%

    Les lieux ont été saccagés, le luxe des coussins, des paravents de bois et de toile, les serviettes moelleuses : tout cela a disparu. Ne restent que des bassins aux statues souvent abimées, décapitées, émasculées, quelques corps flottant dans l’eau chaude, du sang… Quelques salles demanderont de lourds travaux, mais dans l’ensemble, les Naïades ne devraient pas tarder à rouvrir leurs portes… bien que le luxe d’antan soit pour le moment flétri.

    Le Colisée


    Ne vous fiez pas au nom de cet endroit, il est à peine assez grand pour accueillir 50 personnes. Endroit préféré des bookmakers, le Colisée accueille les riches de Pandémonium avides de sang. La folie du jeu s’empare de ces messieurs-dames guindés qui payent leur billet à prix d’or pour parier sur les gladiateurs.

    Chaque spectateur peut assister au massacre entre combattants, au plus près du sable. Certains se régalent de la violence et de l’odeur du sang, d’autres concluent des pactes peu recommandables, couverts par les holas de la foule.

    Mets de choix et boissons de première qualité sont proposés aux nantis venus se désennuyer.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 10%

    Les lieux ont été quasiment totalement épargnés. Quelques vitres et portes fracassées, des murs tâchés, un peu roussis, mais dans l’ensemble, peu de changements pour ce bâtiment.


    Le centre


    Illustration du centre

    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=PaGJJAzc2Qo

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 55%

    Le centre a été fortement touché, mais bien moins que l’Eden. Les grandes boulevards qui ceinturent l’Eden ont partiellement protégé le Centre des flammes qui ont ravagé le quartier huppé de la ville. Cependant, les Cavaliers ayant pris soin de bien tourner dans le cœur de Pandémonium, les dégâts matériels comme humains sont considérables. Pour rappel, au Nord-Est : Famine a semé la désolation et pourriture des denrées alimentaires, au Nord-Ouest : Guerre a ravagé les rues, laissant débris et blessés dans son sillage, au Sud-Ouest : Pestilence a distillé sa maladie, laissant des corps malades se répandre et au Sud-Est : Conquête a exalté les cœurs et les croyances à l’extrême, semant derrière lui des actes de foi violente, martyrs, crucifixion, etc.


    Les habitations

    Partie la plus peuplée de Pandémonium, le Centre a une place à offrir à la plupart des budgets. Son avenue la plus connue abrite le Marché des Pentes. Cœur économique de la ville, le Centre est une aubaine pour tous les marchands. Ils s’entassent le long des ruelles, à la lueur des torches pour vous fournir tout ce dont vous pourriez avoir besoin.

    On dit que de la serviette de table à l’éléphant, on pourrait tout trouver dans le Centre pour peu qu’on se donne un peu de mal.

    La Culture est un moteur important de la couronne du Centre. Dans les vestiges de la ville, un théâtre a été construit. Récemment, le Musée du Monde Oublié accueille également les visiteurs avides de mieux connaître le monde pré-atomisation.

    Type d'habitations disponibles :
    • Appartement 2 pièces et moins - Grande majorité

    • Appartements 3 pièces et plus -  Rare

    • Maisons - Très rare


    Commodités disponibles :
    • Eau courante 80%

    • Eau chaude au robinet 60%

    • Électricité 80%


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : de 15% à 100%
    Dans le centre, la nature des destructions dépend grandement de quel cavalier est passé par là. Guerre a laissé des monceaux de cadavres écharpés, découpés dans les rues, beaucoup de vitrines brisées, de signes d’agression. Il suffit après de se rapporter au cavalier qui est passé par le quartier concerné pour en déduire les dégâts (cf. supra). Il y aura toujours quelques constructions moins solides qui se sont totalement écroulées, comme des petits chanceux qui n’auront qu’une porte fracturée et quelques vitres brisées.


    Le grand théâtre

    “A saisir. Théâtre dans son jus. Planches typiques, charme pittoresque.”

    Contre toute attente, cet endroit a survécu à travers le temps à Pandémonium. Entretenu par des Mécènes tenant à faire survivre la culture coûte que coûte, il est un peu vieillot et plein de poussière.

    Les fauteuils rouges perdent un peu de leur mousse ou sont affaissés, usés par les nombreux spectateurs qui s’y sont assis. Dépourvu d’électricité, le théâtre a un charme pittoresque, illuminé à la bougie, de la scène aux lustres.

    Le prix pour y accéder est modique, et toute troupe est la bienvenue. Parfois, des débats sont organisés sur la scène. Les soirs de grande représentation, les loges et les premières places sont très chères. Vous verrez rarement autant d’habitants de l’Eden se ruer au même endroit.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 20%

    Le grand-théâtre n’a miraculeusement pas trop souffert. Principalement parce que ses portes étaient solidement fermées. Cela n’a pas empêché les vitres d’être brisées, des petits malin d’essayer d’aller voler quelques richesses comme des fauteuils décrépits (mais partiellement en bois), quelques combats d’y avoir lieu par la haine instillée par Guerre. Il reste du sang, des cadavres, des rideaux arrachés, des fauteuils déboulonnés, des costumes volés ou déchirés.


    Le marché des pentes

    La technologie étant hors de prix à Pandémonium, il était impensable de conserver les anciens centres commerciaux. Au fil des ans, le centre-ville a vu les ruines de ses boutiques se transformer en gigantesque marché. Perché le long des Pentes du centre, il occupe l'artère principale du quartier et s'étire dans les ruelles adjacentes.

    Il est ouvert à tous, et met à disposition tout ce que les habitants inventifs de la ville parviennent à produire.Tout le monde peut venir y poser son étal, pour peu de parvenir à s'y faire une place.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 60%

    Le marché est jonché de corps malades, mourants, de morts de la peste. Il y a quelques dégâts matériels, le mouvement de foule, dans ce quartier de ruelles étroites, de boutiques et d’échoppes ouvertes sur les rues, les dégâts sont donc surtout ceux du pillage, des foules de malades et de gens les fuyant. Le nord-est du marché des pentes a été un peu touché par l’incendie, ce fut surtout le cas des stands journaliers de l’artère principale.


    L'Agora

    La plupart des services administratifs encore debout se tiennent dans cette petite partie du quartier. Le Maire de Pandémonium, son Conseil ou toutes les autres formes de tentative de démocratie y siègent les unes après les autres. C'est le lieu de pouvoir par excellence, celui où sont prises les décisions concernant l'avenir des rares survivants du monde.

    Services disponibles :
    • La cour des orateurs : c'est là que siège le conseil qui "gouverne" la ville. En réalité, c'est plus une tentative de gouvernement qu'autre chose, il n'a pas de réel pouvoir.

    • La bibliothèque : la seule et l'unique accessible au public. Seules des reproductions sont consultables, les originaux étant conservés bien loin des regards curieux.

    • Les coureurs : centre névralgique du système de coursier de la ville. C'est ici que l'on vient déposer son courrier, ses colis ou demander le concours de la société pour le déplacement de paquets volumineux.

    • Tableau de chasse : c'est ici que l'on dépose les avis de recherche. Mort ou vif, il vous suffit de venir ici avec les informations nécessaires à retrouver votre fugitif et bien sûr, avec la prime. Les chasseurs de prime pourront y consulter les tableaux noirs regroupant tous les fuyards et y ramener leur prise afin d'empocher la prime.

    • L’agence Anga : premiers sur le coup lorsque les manticores ont été "affranchis", les fondateurs de l’agence Anga sont la référence pour diffuser les recherches d’emploi. Sur un immense tableau d’ardoise, les places fraîches sont inscrites chaque matin.

    • Siège du Iad, le journal de Pandémonium : en partenariat direct avec les coureurs, le Iad est le journal oral le plus efficace de la ville. Ses journalistes diffusent aux coureurs les articles intéressants qui sont ensuite répétés à travers tous les quartiers pour diffuser les informations du jour.

    • Caserne centrale des pompiers : sans borne à incendie ni camions technologiquement avancé, les pompiers de la ville sont très organisés pour gérer les départs de feu en ville. Plusieurs casernes sont dispersés dans les quartiers. Celle-ci est la principale : celle où ils se forment et reçoivent les alertes du Centre.  

    • Gare des Manti-pousse-pousse : c'est ici que les manticores les plus robustes viennent chercher leurs pousse-pousses avant d'aller écumer la ville. Vous pouvez également venir y commander une course particulière avec un lieu et une heure donnée.


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : entre 15 et 90 selon les bâtiments.

    L’agora a été la proie des flammes. Heureusement, bien que Guerre ait fait son possible pour en détourner les équipes de pompiers, ceux-ci ont pu éviter que la bibliothèque ne s’embrase (de trop). Cela a été au détriment des autres bâtiments qui ont vraiment, vraiment morflé. Restent des morts, des blessés, du sang, des débris à évacuer.
    Cour des orateurs : 75% détruite
    Bibliothèque : 15% détruite
    Les Coureurs : 90% détruit
    Tableau de Chasse : 80% détruit
    Agence Anga : 60% détruite
    Siège du Lad, journal pandémonien : 50% détruit
    Caserne centrale des pompiers : 10% détruite
    Gare Manti-Pousse-Pousse : 80% détruite


    La Trocadure

    Cette partie de la ville est dédiée au commerce, de l’artisanat  aux grands entrepôts. D’architecture  assez variée, les petites rues commerçantes présentent moults étals de produits allant des plus nécessaires aux plus luxueux. Au-dessus des boutiques, les appartements abritent souvent ceux qui travaillent en ces lieux. Plus loin, des entrepôts, plus petits que ceux de la zone industrielle, font d’excellents lofts quand ils ne servent pas à de plus grandes surfaces pour les divers commerces de la ville. L’ambiance y est simple, chaleureuse. C’est un quartier vivant, présentant une forte mixité économique entre les passants, les habitants, les travailleurs du quartier.

    Parmi les boutiques et services disponibles, vous pouvez trouver : des boulangeries et pâtisseries, des plus raffinées aux plus basiques. Divers bains, dont le célèbre établissement des Ménades, noir de monde le soir du fait de son tarif raisonnable. Pour les vampires, on y trouve aussi la principale antenne de la Banque de Sang, où il est possible d’y acheter une poche (qualité garantie) ou de boire directement auprès d’un donneur. Et des centaines d’autres boutiques, dont le célèbre Camusutra, fin des fins des sexshops.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 45%

    C’est Famine qui a parcouru la Trocadure et ses petits commerces. Les dégâts sont de plus en plus importants à mesure que l'on monte vers l’Eden. Le haut des bâtiments a souvent été épargné, mais les commerces de bouche ont vu leurs denrées flétrir, les boutiques en général ont été pillées, dévastées, se retrouvent pleines de blessés, de corps sans vie. Le parc cependant a évité le pire au quartier fait de maisons et immeubles accolés, trop rapprochés : d’être dévasté par les flammes. Les dégats sont donc surtout ceux de la foule devenue folle de faim.


    Le Musée

    Un des rares bâtiments qui possède encore le cachet de l’ancien dans le coin ! Donnant sur une placette, dont elle fait l’angle avec une ruelle, sa façade en pierre de taille s’orne de colonnades et de voûtes sur une entrée majestueuse. De style ‘classique’ le bâtiment s’ouvre sur un majestueux escalier de pierre entourant le comptoir d’entrée. A droite, le musée : les fenêtres qui n’ont pas été murées sont protégées de ferronnerie, les œuvres d’art sont éclairées à l’électricité.

    A gauche de l’entrée, la Galerie : les artistes dont le talent est reconnu par le sévère maître des lieux peuvent y exposer et vendre leurs toiles. Au bout de la galerie une bibliothèque à l’accès extrêmement strict, renfermant quelques trésors sous clé et beaucoup de livres et de documents consultables, d'époques et d'autres. Le premier et le second sont des zones privées, avec bureaux, réceptions et appartements. Le Musée formait autrefois un carré mais l’aile arrière est en ruines, partiellement détruite. Un jardin de pierres en L finit de former l’ensemble.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 30%

    Le musée ayant été bâti, voulu, conçu comme une forteresse, il a plutôt bien résisté aux assauts de la foule affamée que Famine a conduite à ses portes. Les portes ont été barrées et barricadées à temps. Cependant, la partie déjà effondrée a pris un nouveau coup : ce qui tenait encore debout de l’aile ouest n’est désormais plus qu’un amas de pierres de taille ayant enseveli les malheureux qui s’étaient jetés à l’assaut de la bâtisse. Quelques vitres brisées, et l’arbre fossilisé de la cour qui a fini par pourrir sur place malgré son exceptionnel état de conservation.


    Le Quartier Rouge


    illustration quartier rouge
    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=1IQiwy_m8_U


    Post-Apocalypse


    Part de destruction globale : 40%

    Le quartier rouge a été touché par deux cavaliers : Guerre pour la majeure partie du quartier, et Pestilence pour Serendip et L’Usine. L’incendie de l’Eden n’a pas atteint le quartier, mais les mouvements de foule en ont déclenché plusieurs. Des immeubles ont entièrement brûlé du fait de lampes à huile, de poêles renversés sur des draps ou des rideaux. Cependant la grande majorité des dégâts est due à la démographie du quartier. Très peuplé, assez pauvre dans l’ensemble malgré quelques établissements de luxe, c’est la panique et la folie engendrée par les cavaliers qui ont fait le plus de dégradations.


    Les habitations

    Des étages de petites boutiques aux squats partagés par les plus pauvres de Pandémonium, les habitations des Quartiers Rouges sont réservées aux bourses les plus modestes. Qui d'autre accepterait de trouver des dealers et des prostituées au pied de chez soi ?

    Type d'habitations disponibles :
    • Appartement 2 pièces et moins - Grande majorité

    • Appartements 3 pièces et plus -  Rare


    Commodités disponibles :
    • Eau courante 70%

    • Eau chaude au robinet 50%

    • Électricité 70%


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 35%

    De nombreux dégâts se sont propagés autour de divers points d’incendie. Aléatoirement, les logements peuvent avoir été globalement épargnés (vitres brisées, portes défoncées, comme totalement détruits par un incendie.


    Les Lupanars

    Les Lupanars sont la raison principale pour laquelle on se rend au Quartier Rouge. L’endroit regroupe les établissements permettant d’assouvir les plus bas instincts des clientes et clients. Maisons de passe, bars à hôtes et hôtesses, hôtels pour une nuit discrète ou un cinq à sept illégitime, vous trouverez de quoi exorciser ce qui ne peut pas attendre. Hétéroclites, les établissements peuvent contenter toutes les bourses, des grands pontes de Pandémonium aux habitants de la Benne.

    Petits bâtiments collés les uns aux autres ou grands complexes de l'industrie du sexe, le quartier est un amalgame de bâtisses en tout genre. Bien souvent, la devanture d'un établissement reflète ce que vous pourrez trouver à l'intérieur, mais certains préfèrent la garder neutre pour conserver le mystère qui l'entoure.

    Le Quartier est régulièrement victime de fermetures temporaires. Les épidémies d’IST mettent périodiquement en faillite les commerces les moins regardants sur le sujet. Avis aux humains, caduties et manticores : faites attention à ce que vous mettez et où vous le mettez au Quartier Rouge.

    Établissements reconnus du Quartier Rouge :
    • L'Hôtel Crimson : d’apparence ordinaire, cet endroit est le repaire des couples illégitimes et des professionnels n’ayant pas de pied-à-terre pour accueillir leur clientèle

    • Le Velvet Club : réservé aux vampires, l’établissement propose à ses clients des volontaires pour se nourrir. Ce qui se passe dans les alcôves… reste dans les alcôves.

    • La Ménagerie : envie de goûter aux manticores ? C’est par ici que ça se passe. Les hybrides qui finissent à la Ménagerie en ressortent rarement indemnes. Travailleuses et travailleurs du sexe ou gladiatrices et gladiateurs, tous les manticores savent qu’on y entre dans le besoin et en ressort partiellement brisé.

    • Le Palais des Plaisirs Inavoués : fief du Prince de la Luxure, l’endroit accueille la débauche à bras ouverts. Réservé aux bourses les plus remplies, l’établissement invite à dépenser sans compter, avec les danseurs ou dans la salle de Casino dans le fond du bâtiment.

    • L'Eden : repaire des démons de la ville, l’Eden est la propriété du Roi de l’Enfer. Ce n’est pas le genre d’endroit où on entre par hasard. On raconte que le paiement le plus accepté est l’âme des clients naïfs.

    • Paragon : conçu pour permettre à tout un chacun de passer une bonne soirée, l’endroit invite à la désinhibition. Le bar fournit à ses clients de quoi brouiller leur jugement pour se défouler sur la musique, et plus si affinité.

    • La Harpe d’Or : bordel très haut de gamme, la Harpe d’Or accueille les clients huppés de Pandémonium. L’endroit est particulièrement prisé pour la rareté et les prouesses de ses employé-e-s. Il paraît qu’ils ont même un Manticore d’apparat !


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : entre 15 et 95%

    Les lupanars ont été parcourus par Guerre. Et là où Guerre est passé, l’ordre a trépassé. Clients assassinés alors qu’ils lutinaient un mignon ou une mignonne, crimes de haine, de vengeance, incendies volontairement (ou non) déclenchés, tout est possible. Les corps nus ou peu vêtus tombèrent, enchevêtrés.
    Hotel Crimson : 80% détruit, un incendie a pris dans une chambre du premier étage.
    Le Velvet Club : Globalement épargné… à quelques tables, vitres et morts près. 30% détruit.
    La Ménagerie : un massacre des maîtres qui s’y amusaient a eu lieu, et plusieurs manticores y ont également perdu la vie. Un incendie a pris dans une chambre, mais a pu être maîtrisé et a épargné une grande partie du bâtiment. 50% détruit.
    Palais des Plaisirs Inavoués : heureusement, le prince de la luxure a des démons à son service. La Pagaille a vite été propulsée à l’extérieur. Un peu de casse, mais rien d’insurmontable. 20% détruit.
    L’Eden : Comme au-dessus, c’est un repaire de démons. La casse a été en grande partie évitée, l’appartement de Lucifer épargné. 15% de destruction.
    Parangon : Trop de distractions, trop de loisirs, de péchés à l'œuvre. Quand Guerre est passé par là, cela a été l’étincelle qui est allée trop près de la réserve de poudre. Il ne reste presque plus rien du Parangon, qui a brûlé entièrement, avec ce qu’il restait de clients vivants en son sein. 95% détruit.
    La Harpe d’Or : vitrines brisées, les richesses ont été pillées, le rez-de-chaussé dévasté et les étages aussi. Quelques rideaux ont pris feu dans une chambre mais une bonne âme a pu éteindre le feu. Plusieurs employés et de nombreux clients ont perdu la vie dans les combats qui ont eu lieu. Destruction à 33% du bâtiment ouvert au public. De l’autre côté de la rue, le bâtiment contenant les chambres privées des prostituées a été globalement épargné (15% de destruction).


    Sérendip

    Ici, chaque coin de rue est une surprise. Des petites ruelles liant des arrière-cours d’immeubles moyennement hauts aux artères principales, c’est le quartier populaire par excellence. Un quartier d’Arts, de bohème, où le théâtre de rue côtoie les artistes ambulants, les stands de nourriture bon marché et les maisons de passe moins côtés, les casinos et salles de jeux clandestins. C’est aussi le quartier hors de la Benne où vous pouvez trouver des dealers, les réunions officieuses des du ‘business’ de pandémonium. C’est le quartier de tous les possibles, notamment grâce à sa proximité avec L’Usine et la Benne, où toutes les classes sociales se côtoient, se débauchent, se cachent, se lient ou vivent, tout simplement.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 35%

    Serendip a été touché par Pestilence. Surpeuplé, le quartier est surtout parsemé de cadavres morts de la peste, de sans-abris dont le petit coin de rue, la tente, le studio a été dévasté par les foules effrayées par les contaminés. Peu de vandalisme, quoique quelques-uns aient profité de la débâcle pour voler leurs voisins des quelques biens qu’ils pouvaient avoir.


    L'Usine

    Affectueusement appelé par ceux qui côtoient ce petit sous-quartier “L’Usine”, au singulier, c’est en réalité un dédale de rues et de ruelles entre d’anciens entrepôts de tôle, aujourd’hui reliés entre eux par des passerelles, des venelles, des toits de toile tendus au-dessus des allées. Chaque bâtiment abrite de nombreux commerces principalement dédiés à la revente d’objets de seconde main, du plus accessoire au plus nécessaire. Coincé entre le Serendip et la Benne, c’est un lieu très vivant, mais aussi dangereux : les trafics y vont bon train dans ce milieu où à peu près tout peut être trouvé, où tout a un prix, du panier de pomme à la dose de Lacrimosa, de la chaise aux services criminels. Peu d'habitations en dehors des propriétaires de stands qui n’ont pas les moyens de se loger ailleurs (ou qui craignent que leurs marchandises se fassent dérober). Entre foire aux fripes, brocante, marché de seconde main et marché noir, l’Usine est le lieu de tous les possibles.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 25%

    Produits de contrebande détruits, tables renversées, corps étalés au sol. Les traces de maladie sont encore bien imprimées au marché noir. Priez Creatorem pour que votre trafiquant habituel ait échappé à ce triste destin. Et si c’est le cas, à ce que ses fournitures aient bénéficié de la même grâce.

    La Benne


    illustration de la Benne
    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=QyLWf7dJ_hQ

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : entre 5 et 33%

    Il n’y a pas grand-chose à la Benne qui puisse être ravagé. Quelques bouibouis passés à sac par des malades désireux de trouver un remède à leur situation, cabanes de fortune retournées, containers d’habitation attaqués. Les corps laissés à l’abandon rendent les rues insalubres. En moins bonne santé naturellement, peu d’habitants de la Benne arrivent à survivre aux blessures reçues lors de l’Apocalypse, leurs corps sans vie s’ajoutent aux victimes de l’Apocalypse.


    Les habitations

    La Benne est une marrée d'habitation de fortune occupée par les plus démunis. Ici, la plupart des gens vivent dans les "piles", d'immenses tours de mobile-homes et autres containers entassés pour économiser le prix de construction d'une habitation décente. Quelques bienheureux ont pu intégrer un des rares appartement toujours debout dans un vieil immeuble. Ils menacent de vous tomber dessus régulièrement, mais restent plus ou moins habitables. Le reste des habitations ne sont rien d'autres que des cabanes de fortune à base de vieille tôle rouillée ramassée ici et là.

    Délinquance, pauvreté et système D sont ici les maîtres mots.

    Type d'habitations disponibles :
    - Appartements (plutôt rares ou très délabrés)
    - Container (commun)
    - Cabanes de fortune (très commun)

    Commodités disponibles :
    - Eau aux puits
    - Pas d'électricité du tout


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 33%

    Cabanes de fortunes pillées par les malades désireux de trouver des plantes médicinales, container attaqués, appartements aux fenêtres brisées, et aux portes marquées par des stigmates de coups. Peu d'incendies, surtout du vandalisme dû aux cavaliers ou à l’opportunisme de certains.


    Le Hobbit Home

    Cet endroit nommé "le Smoking Dog" est appelé Hobbit Home par tous les habitants de la Benne. C'est une sorte de taverne creusée à partir de ce qui fut un bunker de protection jadis. Profondément enterré sous terre, il n'y a que la porte qui dépasse du sol, et son toit est recouvert de déchets entassés, ce qui lui donne la forme d'un terrier. Le plafond y est bas, la nourriture rare et grasse, et la propriétaire peu avenante.

    Si vous cherchez à vous taper sur le coin du nez avec le premier inconnu qui passe, vous n'y manquerez jamais de volontaire. Vous pourrez également trouver n'importe quel service borderline du coupe jarret au trafiquant de tout et de rien.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 5%

    Mouvements de foules, piétinements, amas de corps laissés à l’abandon. Voilà les résultats d’un cluster de malades au bar du Hobbit Home. Sa situation en sous-sol l’a grandement aidé à être épargné.


    La fosse aux ours

    Située entre deux immenses amas de déchets et de bâtiments effondrés préfigurant les ruines non loin, cette arène est celle où se déroulent la plupart des combats de rue. Les passages à tabac en public y sont fréquents. Un peu en retrait des habitations, c'est un endroit mal fréquenté où le public est parfois enclin à participer... pour faire pencher la balance du pari en leur faveur. Les gladiateurs peuvent venir de tous les horizons : héros de la Ménagerie ou de la MagyarCorp (société créant des manticores) amenés pour faire un ‘coup de pub’, volontaires désignés d’office, combattants chevronnés voulant faire leurs armes, prouver leur valeur en vue de décrocher un poste peut-être intéressant dans les strates plus aisées de la société…

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 5%

    Mouvements de foules, piétinements, amas de corps laissés à l’abandon. Voilà les résultats d’une bagarre à la fosse aux ours. Pas besoin d’avoir des muscles lorsqu’on s’appelle Peste, éternuer sur quelqu’un suffit. Une fois encore, sortez couverts !

    Le quartier religieux


    quartier religieux
    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=fUe3F05KNEQ

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 15 et 35%

    La chasse à l'hérétique a fait couler beaucoup de sang. Les rues doivent être nettoyées des corps des suppliciés. Par ailleurs, de nombreux dégâts sont à signaler, qui demanderont la restauration des lieux saints.


    Les lieux religieux

    C’est le quartier qui regroupe les édifices de culte, le cimetière, mais aussi des écoles, des dispensaires, des aumôneries… et naturellement quelques (rares) boutiques et habitations. On y recense aussi la plus forte concentration d’anges de la ville. Ce n’est pourtant pas un quartier ‘mort’. Les écoles publiques, peu nombreuses, sont quasiment toutes dans ce quartier. Les habitations ne sont pas en reste. Bien que moins ‘bruyant’ que le reste de la ville, le quartier s’anime la journée de commerçant, de travailleurs en plus des offices religieux qui rythment la vie du quartier.

    Pour ceux qui sont pieux, c’est l’un des quartiers les plus sûrs pour vivre, après l’Eden. Pourtant le niveau de vie n’est pas spécialement aisé, on y retrouve surtout la classe moyenne voire ouvrière, car peu de bâtiments sont desservis par l’électricité et l’eau courante.

    A noter : seuls les lieux saints et quelques rares édifices sont totalement ou partiellement consacrés. Le quartier ne l’est pas.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 30%

    Tous les sévices traditionnels des religions, que ce soient des tortures communes ou des mises à mort, ont été vus aux abords des lieux religieux. Une rude chasse aux profanes a eu lieu ici, et le sang a coulé. Des bagarres s'y sont déroulées, brisant quelques vitraux, abîmant des bancs, des porte, laissant des vivants et des morts aux diverses stigmates, aux signes de torture, de mises à mort spectaculaires dignes des grands martyrs de l’Histoire.


    Le cimetière

    Les morts sont toujours respectés à Pandémonium, et les plus fanatiques des habitants de la ville craignent même secrètement qu'ils reviennent à la vie. Ici, chaque défunt est soigneusement brûlé, puis placé sous la stèle de sa famille avec ses ancêtres. Toutes les trois générations, les cendres sont collectées pour les expériences de la zone industrielle. Il ne reste alors plus qu'une plaque de pierre aux vivants pour se recueillir. Le sol du cimetière n’est pas consacré, mais il n’est pas rare que certains caveaux ou cryptes le soient. Situé entre l’Eglise et la Synagogue, il est bordé de chaque côté de hauts immeubles abritant plusieurs offices de pompes funèbres et un crématorium.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 35%

    Tombes vandalisées, pillées, détruites. Sépultures bafouées jusqu’à disparition totale des corps. Ce qui ne rentre pas dans les critères de la foi aveugle a eu vite fait d’être exclu de l’unique cimetière de Pandémonium.


    Les écoles

    L'éducation des enfants de Pandémonium est confiée aux mains d'acier et aux gants de velours des religieux de Pandémonium. Chaque confession possède son propre système d'enseignement, mais le principe reste le même.

    Pour peu que leurs parents n'aient pas les moyens de payer un précepteur ou une des rares écoles privées de la ville, les enfants, aux alentours de 6 ans, peuvent entrer dans une des écoles religieuses pour une somme modique. L’enseignement reste cependant, pour la majeure partie des cas, peu poussé : lecture, écriture, calcul, un peu d’histoire, de la religion et quelques apprentissages pratiques comme les premiers secours, la cuisine, la couture…

    Lorsqu'ils passent l'âge de 13 ans, les enfants ont le choix de persister dans la Foi et/ou de s'orienter vers des métiers qui respectent les théories Créationistes, ou bien de partir en Zone Industrielle, pour y étudier les sciences païennes, l’artisanat, voire encore simplement essayer de trouver un emploi en ville. Cela reste bien souvent à la discrétion des parents plus qu’à la volonté des enfants.

    Nota : Un grand complexe religieux et caritatif : Sainte Charité. Désormais géré par l’Archange Tsaphkiel, on y croise souvent des trônes. Une partie du sol est consacrée (la chapelle). D’un côté sont soignés, logés, nourris, instruits les enfants abandonnés et trouvés par les anges, et ce jusqu’à leurs seize ans ; de l’autre un complexe de soin pour les nécessiteux, sorte de mélange entre un hospice et une soupe populaire.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 15%

    Il ne fait pas bon d’être athée dans une école, pour preuve les multiples traces de lapidations ou de crucifictions aux portes des classes. Cela prendra du temps de tout nettoyer.

    Tous les sévices traditionnelles des religions, que ce soient des tortures communes ou des mises à mort, ont été vues aux abords de Ste Charité.

    La zone industrielle


    illustration zone industrielle
    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=C1izmZd3Z2A

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : de 10 à 50%

    Durement touché par Famine, le secteur agro-alimentaire de la zone industrielle a fortement pâti de l’apocalypse. Depuis, un rationnement en denrées alimentaires est fait. Chaque habitant de Pandémonium est logé à la même enseigne. Tous ? Non ! Cet irréductible clan de riches a parfois des passe-droits. Assurez-vous d’être dans leurs bonnes grâces, il paraît qu’on mange mieux à leur table.


    Les dortoirs

    Ce n'est pas un quartier à proprement parler. Il s'agit de bâtiments disséminés aux quatre coins de la zone industrielle. Ils sont ironiquement appelés de la sorte par leurs habitants, à cause de la configuration des lieux. Les zones "résidentielles" de la zone industrielle sont en fait de vieilles usines recyclées en studios minuscules, avec les condommodités minimum : un lit inconfortable au possible, une armoire branlante et un bac d'eau qu'il faudra aller remplir vous même. Des douches communes sans eau chaude sont parfois disponibles à tous, ainsi que de grandes cantines où chacun peut venir faire sa popote.

    La plupart du temps, un dortoir appartient à un employeur qui y loge ses "employés". Ça ne coûte rien à celui qui y loge, mais perdre son emploi signifie aussi perdre son logement. D'autres dortoirs n'appartiennent à personne et ce sont les personnes qui y vivent qui mettent leurs maigres économies en commun pour survivre avec un toit sur la tête - ici, vous pouvez toujours rêver pour avoir l'eau courante. Ces derniers sont généralement localisés tout au nord de la zone industrielle, proches des ruines où les coupe-jarret sont rois.

    Le turn-over est si important ici, que l'on ne sait jamais qui l'on va retrouver dans le studio d'à côté en rentrant du boulot. Chacun dispose d'une clé, plus symbolique qu'autre chose puisqu'il suffirait de pousser un peu pour forcer la porte. Quand on s'en va, on laisse tout simplement la clé sur la porte pour signifier que le studio est libre.

    Les rares appartements sont réservés aux familles, bien qu'elles soient assez rares à vivre ici. Cependant, on voit de plus en plus de studio perdre une cloison pour agrandir l'espace de vie - parce que la Benne c'est quand même pas la porte à côté.

    Type d'habitations disponibles :
    • Appartements 1 pièce - Quasi totalité

    • Appartements 2 pièces et plus -  Extrêmement rares


    Commodités disponibles :
    • Eau courante froide uniquement dans les dortoirs fournis par les employeurs (notamment pour privilégier l’hygiène : par risque de contaminer les ressources de nourriture qui seront ensuite distribuées dans Pandé)

    • Eau chaude au robinet 0%

    • Électricité "privée" : 1h toutes les 8h dans les dortoirs fournis par les employeurs


    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 10%

    Certains, pris par une faim dévorante, se sont attaqués aux matelas. Certains lits des dortoirs n’ont plus qu’un sommier composé de barres de fer. Certains se sont attaqués à leurs voisins de matelas, les blessant ou pire. Quelques vitres brisées, quelques portes défoncées sous les mouvements de foule, mais peu de dégâts importants.


    Les usines

    Les usines de Pandémonium sont un va et vient incessant de ressources piochées dans les entrailles des ruines de la ville. On y refond, transforme et refabrique des objets utiles pour faire tourner le reste de la ville.

    C'est un alignement d'énormes entrepôts qui donnerait à l'âge industriel des airs de science-fiction. L'électricité n'est pas présente partout et beaucoup de choses se font de manière mécanique avec activation manuelle. Les conditions de travail y sont déplorables, de part l'âge des installations et le manque d'entretien des locaux.

    Les travailleurs n'y font pas long feu, le site est peu sécurisé et il y règne un chaos de tout instant. D'autant plus que plus on s'enfonce dans le quartier, moins il est occupé. Les coupe-jarrets aiment beaucoup s'en prendre aux aventureux qui travaillent loin de la civilisation.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 33%

    De petites rixes entre les employés affamés ont coûté quelques fenêtres, portes, et matériels onéreux. Les usines transformant la nourriture sont les plus durement touchées. Pour remplacer ceux-ci, il faudra partir en exploration !


    L'Hopital

    Centre de santé principal de Pandémonium, il reste LE lieu privilégié pour les soins lourds. Toutes les branches de la médecine y sont représentées : ophtalmologie, orthopédie, chirurgie générale, pédiatrie, obstétrique, etc. La survie des humains passe par le maintien de la population en bonne santé. Principal distributeur des ressources médicamenteuses, ils fournissent les médecins de ville agréés en vaccins et médicaments coûteux à produire, mais nécessaires pour la population.

    Des travaux de rafraîchissement des locaux sont en train d’être effectués pour garantir un espace propre et sain pour se soigner. Grand bâtiment composé de plusieurs ailes propres aux spécialités médicales, l’hôpital ajuste ses prix en fonction du train de vie des patients. Un des remparts fondamentaux pour éviter que l’humanité de s’éteigne, ils sont en charge d’une veille sanitaire rigoureuse pour limiter les risques d’épidémie.

    En partenariat avec la Devon Corporation, il développe des médicaments, mais a la charge exclusive de leur usage et de leur distribution dans tout Pandémonium.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 10%

    De petites rixes entre les patients et/ou personnels médical affamés ont coûté quelques fenêtres, portes, et matériels onéreux. Pour remplacer ceux-ci, il faudra partir en exploration !


    La Devon corporation

    Située tout au nord de la zone industrielle, la Devon est un immense ensemble bâtit sur un ancien centre commercial ainsi que deux grands entrepôts alentours. Acheté à la création de la ville, les locaux ont été entièrement remaniés quand la famille Devon a réussi à obtenir un contrat juteux avec les centrales de traitement de l’eau et de production d’électricité. Seule entreprise véritablement rentable dans le domaine de la recherche et de la santé, elle attire comme un aimant les meilleurs esprits scientifiques encore vivants du fait d’équipements de pointe (pour Pandémonium), de son accès permanent à l’électricité et à l’eau.

    Entourés de hautes grilles près desquelles des patrouilles de manticores et des agents de sécurité, le bâtiment d’administration donne sur une place avec une statue. L’intérieur est entièrement bitumé pour ce qui est des chemins, sinon les extérieurs sont soignés, de jolis jardins de pierre bien agrémentés. De nombreux scientifiques de tous bords ont un laboratoire qu’ils louent dans ces locaux, parfois pour des sommes astronomiques. Bien que contrôlée par et pour des humains aux idéaux suprémacistes, on y croise un nombre certain de vampires, de caduties, et toute personne capable de faire avancer la science pour le compte de la société et par extension, pour ce qui reste de la Création.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 10%

    De petites rixes entre les employés affamés ont coûté quelques fenêtres, portes, et matériels onéreux. Pour remplacer ceux-ci, il faudra partir en exploration !


    Exploitations agricoles

    Source d'alimentation pour la population de Pandémonium, les exploitations agricoles regroupent les plantes, herbes et animaux indispensables à la survie de l'humanité. Ici, c'est la politique du zéro-gaspillge. Si on abat une vache pour sa viande, son cuir sera traité et revendu aux plus grands tailleurs de la ville (et ouais, c'est que ça coûte cher cette chose-là).

    Beaucoup de manticores y travaillent, pour la plupart dans des conditions indécentes. Ils sont traités comme du bétail tout juste bon à abattre une quantité monstrueuse de travail pour lequel ils sont payés à coup de lance-pierre. Pourtant, vous verrez chaque matin, après-midi et soir, une file immense de manticores prêts à embaucher, à l’extérieur des exploitations. Ces ouvriers travaillent en effet souvent sous le régime des trois fois huit heures.

    Le "poumon" de la ville est farouchement gardé, car ce qui en sort vaut son pesant d'or. Encore une fois, ce sont bien souvent des manticores qui se chargent de la sécurité. C'est à se demander pourquoi ce sont toujours des humains qui en ont le contrôle…

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 50%

    La moitié des cultures et des animaux d’élevage sont morts. Le rationnement des vivres a commencé. Le printemps déclenché peu après l’apocalypse aide les plantes à germer, mais cela prendra plusieurs semaines voire plusieurs mois avant les prochaines récoltes, ou naissances.


    Laboratoire Gaïa

    Tout au nord de la ville, le laboratoire est entouré d'un grand mur surmonté de barbelés. Un énorme bâtiment siège au centre de la cour qui l'entoure. La partie à l'arrière du bâtiment est en cours d'aménagement pour en faire une piste de décollage.  Il est surveillé constamment et strictement interdit aux visiteurs, à moins d'obtenir un laisser-passer de la part de l'équipe dirigeante ou de la sécurité.

    C'est là qu'est surveillé, réparé, amélioré le bouclier Gaïa qui protège la Terre. Les plus grands ingénieurs y travaillent pour assurer la pérennité de la vie sur Terre. Ceux-ci sont très bien rémunérés, histoire qu'ils ne se tirent pas à la Devon pour s'en mettre plein les fouilles.

    Fortement alimentée en électricité, la technologie y est très avancée et tient presque de la science-fiction. Les tablettes tactiles et le wifi ne sont pas des denrées rares et il se raconte même que les ingénieurs sont capables de faire voler des machines ! Le directeur travaille d'arrache pied pour que les financements continuent d'affluer de manière à maintenir ce niveau technologique sans lequel le bouclier ne pourrait pas fonctionner.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 10%

    De petites rixes entre les employés ont coûté quelques fenêtres, portes, et matériels onéreux. Pour remplacer ceux-ci, il faudra partir en exploration !

    Les alentours


    illustration alentours
    Ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=ZmWYCIZhBgk

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : entre 0 et 5%.

    Il y a peu de dégâts et ils sont peu observables parmi les ruines ambiantes. La centrale a été la plus touchée par le comportement des employés.

    Par ailleurs, de nouvelles opportunités s’ouvrent à vous ! N’avez-vous pas vu ces terres prêtes à l’emploi qui n’attendent plus que vous ?


    Centrales

    Les centrales qui produisent l'électricité et qui assainissent l'eau sont très proches l'une de l'autre pour des raisons de sécurité. En effet, ces centrales sont aussi bien gardées que Fort Knox en son temps. Appartenant aux plus riches des riches de Pandémonium, elles sont dangereusement inaccessibles. Les employés qui y travaillent regardent plusieurs fois par-dessus leur épaule en sortant du travail. Qui sait de quoi sont capables ceux jaloux des richesses que cet endroit produit.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 5%

    De petites rixes entre les employés ont coûté quelques fenêtres, portes, et matériels onéreux.


    Les ruines

    En retrait du reste de la ville, ces ruines sont les vestiges de la civilisation précédant le cataclysme nucléaire. On y trouve des restes de cimetière, des fondations de châteaux devenus touristiques sur la fin de l'Humanité telle que nous l'avons connue.On y puise les ressources qui manquent cruellement à la ville, sans pour autant s'y aventurer seul. Et pour cause ! Il n'y pousse que des ennuis. C'est l'endroit privilégié des brigands.

    Post-Apocalypse


    Part de destruction : 0%

    Que peut-on casser lorsqu’il n’y a déjà que des ruines ? S’il y a toujours des brigands, ceux-ci ne semblent plus se cantonner aux ruines désormais. Vous feriez mieux de regarder derrière vous lorsque vous traversez ce quartier.


    Les abords de la ville

    Un désert de cendres où rien ne pousse. Certains endroits sont encore hautement radioactifs et donc peu recommandés pour les mortels. Tous ceux qui ont tenté de voir "ce qu'il se trouve plus loin" sont portés disparus, supposés morts.

    Le seul bâtiment encore debout (et surtout sous terre) est dans un coin où la radioactivité a été nettoyée. Il s'agit du bunker des Valkyries, qu'elles défendent ardemment contre ceux qui seraient assez fous pour tenter de le leur prendre.

    Post-Apocalypse


    D’énormes champs de terre exploitables sont à la disposition de chacun. Le premier arrivé sera le premier servi ! Mais qui a fait ce cadeau si généreux ? Creatorem aurait-il enfin pitié de Pandémonium ? Ces terres ont étées dépolluées, prêtes à l’emploi. Aucune difficulté pour vous y déplacer, il y a des axes de circulation. Vous verrez au loin une serre expérimentale durement gardée.


    Zones explorables

    A l'aventure compagnons ! C'est ici que vous pourrez partir en quête de trésors perdus, de ressources insoupçonnées et de combats épiques !

    Autour de pandémonium, vous trouverez d'abord la plaine vallonnée autour de la ville qui a été terrassée. Mais plus loin ? Les terres sont définitivement inconnues ! Il ne tient qu'à vous de vous y aventurer et d'en ramener de nouveaux trésors. Qui sait, peut-être y trouverez vous une forêt fossilisée, des reliques d'un ancien monde ou même des ressources que l'on pensait disparues ?

    Alors ? Oserez-vous braver les dangers du Dehors pour inscrire votre nom au tableau des plus grands explorateurs ?

    Qu’est-ce qu’il y a en dehors de Pandémonium ?



    Une terre dévastée, brûlée, portant les séquelles des bombes et des radiations. Pour ce qu’on en sait, des témoignages des rares excentriques qui s’y sont aventurés, il n’y a plus qu’un désert de cendres radioactives avec quelques rares êtres difformes ayant réussi à survivre dans la nuit. Toutes les ressources y sont contaminées, s’y aventurer est synonyme de mort, et personne ne s’y risquerait. On peut y survivre quelques heures sans séquelle, mais le risque de dommages sur le long terme est très grand pour ceux qui s’y exposent trop longtemps (prenez en exemple la ville de Pripyat, voisine de Tchernobyl, dans laquelle on peu à peu près se promener, mais qui reste radioactive).
    A la lisière de Pandémonium, on trouve encore quelques brigands prêts à vous dépouiller du peu de biens que vous avez, histoire de vous rappeler pourquoi on ne doit pas sortir.

    “Et comment qu’elles font, les femmes, pour survivre dans ce désert désolé, hein hein hein ?” Bonne question, Jean Kevin, je te remercie de l’avoir posée -mais tu n’échapperas pas à ce que je vais te bousiller les genoux. Les femmes ont trouvé un bunker épargné, à une heure de marche de Pandemonium (moins si vous courez, encore moins si vous avez des ailes) et y ont trouvé refuge.

    Post-Apocalypse


    Des terres exploitables à perte de vue. Finies les irradiations ! Les seules limites seront la taille de votre sac à dos, pour savoir le nombre de jours que vous pourrez passer en dehors de Pandémonium. Enfin, sauf si vous vous faîtes bouffer par une bête sauvage sur la route.

    Quant aux femmes, elles ont réussi à survivre avec leurs propres ressources. Il n’est pas impossible qu’elles étendent leur colonie-bunker maintenant qu’il n’y a plus de pollution atmosphérique.


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